Nos réalisations
Frou-Frou les Bains
Frou-Frou les Bains
Frou-Frou les Bains
une comédie musicale de Patrick Haudecoeur
du 03/11/2024 au 08/12/2024
Nous sommes en 1930, à Frou-Frou les Bains. L’établissement thermal est sous pression, si on ose dire, puisque les premiers clients arrivent… mais que l’eau n’est pas au rendez-vous ! Le système est en panne : la station thermale est à sec ! Il va donc falloir trouver un moyen – et pourquoi pas en chantant – pour faire patienter les curistes.
Ajoutez à cela un directeur irascible, un employé lunaire et gaffeur, une amoureuse transie et une baronne superbement snob flanquée d’un fils idiot … et vous découvrirez une intrigue qui n’a ni queue ni tête mais qui est prétexte à quiproquos, gags et bons mots, ainsi qu’à de nombreuses chansons délirantes...
Molière du meilleur spectacle musical en 2002.
Kadoc
Kadoc
Kadoc
une comédie de Rémy De Vos mise en scène par Thierry Coësy
du 07/11/2023 au 09/12/2023
Revue de presse :
Est Républicain - 07/11/2023 |
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| 07/11/2023 |
Les Révérends
Les Révérends
Les Révérends
une comédie de Slawomir Mrozek, mise en scène par Frédéric Maigret
du 04/11/2022 au 11/12/2022
La comédie se déroule de nos jours en Nouvelle Angleterre, Etats Unis d’Amérique. Deux prêtres sont affectés par erreur dans la même paroisse. La communauté religieuse, crapuleuse, stupide, insensée, et qui n’attendait qu’un prêtre, les accueille… Le Révérend Bloom est un juif converti, le Révérend Burton est une femme, ce qui ne manque pas d'agiter cette petite société bigote et perturbe ses plans machiavéliques.
Le texte de Slawomir Mrozek est subtil et comique debout en bout. Des personnalités très marquées, un complot sordide, cette histoire c’est le bien contre le mal, la finesse contre la bêtise. L’auteur affronte aussi les sujets profonds que sont le sexisme et la religion, sans jamais prendre de pincette. C’est enfin une pièce à intrigue et c’est surtout une pièce drôle et légère…
La mise en scène que nous vous présentons se met en phase avec le style de l’auteur. Elle pousse parfois le récit, par la magie du théâtre, à un délire caricatural. Le jeu de chaque comédien va dans ce sens, toujours cohérent et avec un soupçon d’esprit rock’n roll !
Revue de presse :
Est Républicain - 20/10/2022 |
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| 20/10/2022 |
Féminin Masculin
Féminin Masculin
Féminin Masculin
Caricatures et préjugés
du 25/03/2022 au 30/04/2022
« Un homme, une femme, chabadabada »… Ça vous parle ? Un mâle, une femelle, un mec, une nana, un gazier, une pépée, un zigue, une souris, sexe fort, sexe faible… ! Un homme et une femme, ça ne serait pas pareil !? Si on en croit tous ces clichés, ces préjugés sur les unes et les autres, la femme est faite pour les enfants, la cuisine, le ménage, le maquillage, le sac à main, la galère… et l’homme pour le canapé, la télé, la bière, les copains, le pouvoir !!! Voilà donc réunis tous les ingrédients pour un spectacle vivant, joyeux, drôle, rythmé : de la légèreté, du rire, de l’émotion… du vécu en somme ! Chacun se reconnaîtra -ou pas- dans toutes ces situations mises en chansons, en sketchs… où il fait bon se moquer de soi-même, mais aussi des autres ! Mais tout est bien qui finit bien parce « qu’elles sont toutes belles, belles, belles » et « tel qu’il est, il me plaît et je l’aime ! ». Alors pas d’hésitation, venez nombreux rire avec nous…
Revue de presse :
Est Républicain (supplément) du 18/10/2020 |
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| 18/10/2020 |
Moi je crois pas !
Moi je crois pas !
Moi je crois pas !
une pièce de théâtre de Jean-Claude Grumberg
mise en scène par Pierre Dro
du 28/01/2022 au 15/02/2022
Jour après jour, soir après soir, nuit après nuit, Monsieur et Madame s'affrontent, s'opposent, chacun, chacune tentant d'imposer à l'autre son dérisoire point de vue. Ils s'insultent, plaident, menacent, argumentent, mêlant la mauvaise foi à l'ingénuité et l'absurdité au bon sens.
Ils dialoguent sur tout, sur rien, parce qu'il faut bien communiquer, discuter, partager, vivre. Lui n'y croit pas, elle y croit à l'existence du Yéti, au 11 septembre, à la vie après la mort ou aux fayots qui font péter.
Et ce faisant, le temps passe.
Grumberg, avec sa verve comique coutumière, transcende leurs doutes et leurs certitudes parcourant les idées reçues et les préjugés ainsi que la bêtise partagée devant une télévision un peu trop présente.
Revue de presse :
EST Républicain du 16 Février 2020 |
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| 16/02/2020 |
Un air de famille
Un air de famille
Un air de famille
une comédie de Agnès Jaoui et Jean-Pierre Bacri
mise en scène par Cédric Evain
du 05/11/2019 au 13/12/2019
Toutes les semaines dans la famille Menard, on se réunit au café dont Henri est le patron et on va manger tous ensemble Aux ducs de Bretagne. Ce soir, qui est pourtant un jour de fête, car c'est l'anniversaire de Yolande la belle-fille, un incident va venir troubler les habitudes. Arlette, la femme d'Henri, est partie une semaine pour réfléchir, ce qui va déstabiliser les autres membres de la famille.
Rendez-vous en fin d'année 2019 pour découvrir cette comédie grinçante et émouvante qui a été immortalisée au cinéma par Cédric Klapisch (réalisateur) et Catherine Frot (César du meilleur seconde rôle). Jean-Pierre Bacri et Agnès Jaoui, les auteurs de la pièce qui jouaient aussi dans le film, ont crée le tableau d'une famille banale mais tellement réaliste.
Revue de presse :
EST Républicain du 24/10/2019 |
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| 24/10/2019 |
Les cabots magnifiques
Les cabots magnifiques
Les cabots magnifiques
une comédie de Thierry Debroux, mise en scène par Pierre Dro
du 23/03/2018 au 06/05/2018
Régie scène : Jean-Pierre LUCASSON
Musique originale : Jérome BRIE
Trois acteurs, plus cabotins les uns que les autres, se retrouvent pensionnaires d’une maison de retraite. Ils se détestent et ne manquent pas des’envoyer des vacheries à la figure.
Sous l’impulsion d’une animatrice passionnée de théâtre, ils vont mettreleur talent en commun pour tenter de sortir une comédienne du silence danslequel elle est plongée depuis des années.
Ce scénario suffirait à faire une histoire sympathique. Or, Thierry Debroux ne s’arrête pas là, brouillant les pistes entre le réel et le rêve, le théâtre et la vie. Ainsi une souffleuse intervient-elle régulièrement, présence insolite qui interroge. Le trouble jeté ici à dessein fait écho au sujet : le vieillissement, la mémoire - question primordiale pour les acteurs face à leur texte - qui revient, vacille ou se délite, la transmission, les rôles qu’on joue sur scène et dans la vie, ce que le temps emporte avec lui et ce qui reste, ce qui survit à l’oubli.
Revue de presse :
L'Est Républicain du 12 Mars 2018 (rubrique Sortir) |
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| 12/03/2018 |
Brida
Brida
Brida
Adaptation et mise en scène : Fabienne Sire
D'après le roman de Paulo Coelho
du 10/03/2017 au 14/04/2017
Brida, une jeune irlandaise à la recherche de la Connaissance, explore les voies de la magie et de la sorcellerie. Sa quête la mène vers des personnes d'une grande sagesse : le magicien de Folk, maître dans la Tradition du Soleil et Wicca, maîtresse dans la Tradition de la Lune.
Nous suivrons l'apprentissage de Brida, véritable parcours initiatique, auquel se mêle l'amour : est-il possible d'aimer deux personnes à la fois ? Est-elle prête à tout quitter pour devenir sorcière ?
La musique, avec des percussions en live et la danse se mêlent au théâtre pour nous faire voyager dans différentes ambiances et même différentes époques !
La magie est un pont entre le monde visible et le monde invisible. De tout temps, dans toutes les traditions, il y a toujours eu des magiciens, des sorciers et des chamanes. A première vue ce sont des gens ordinaires...Et si le monde était plus magique que vous ne le pensiez ?
Revue de presse :
L'Est Républicain |
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| 08/03/2017 |
Sens dessous dessus
Sens dessous dessus
Sens dessous dessus
Cabaret Coquin
du 07/10/2016 au 27/11/2016
Des paillettes, des dentelles, des strass, des résilles, des plumes…. Tous les accessoires incontournables du cabaret ;dans un endroit feutré, douillet, intime, coloré de mauve et de rose pour que l’on s’y sente bien. Le spectateur y sera chez lui, tout comme les comédiens d’ailleurs. Il y aura là la tenancière, le mac, le naïf et bien d’autres encore qui vous transporteront dans leur vie, le temps d’une soirée, au rythme enjoué de chansons voluptueuses et coquines (mais jamais vulgaires) et de sketches très drôles !!!
Cher public, écoute ton cœur qui bat… laisse-toi faire ! Ne sois pas farouche quand te vient l’eau à la bouche ! Laisse-toi au gré du courant porter dans le lit du torrent…quittons la rive… partons à la dérive !
Alors ça vous dit de venir vivre une soirée pleine de légèreté, affriolante et coquine à souhait ?… pour des sens dessous dessus ! Nous vous attendons avec impatience !
(déconseillé aux moins de 12 ans)
Revue de presse :
Est Républicain (Isabelle Petitlaurent) |
Est Républicain (Isabelle Petitlaurent) |
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| 04/10/2016 | 15/10/2016 |
Fêtes des mères, mères défaites
Fêtes des mères, mères défaites
Fêtes des mères, mères défaites
Une pièce écrite et mise en scène par Jérôme Brie
du 11/03/2016 au 10/04/2016
Bande annonce : Lien
Fête des mères, mères défaites...
- est une fiction écrite à partir d’entretiens réalisés au sein de Tréteaux 90. L'idée : porter témoignage de la relation que nous avons eue à nos mères à l'époque où les femmes connaissaient une émancipation lente, laborieuse, fragile, mais bien réelle : du droit de vote en 1944 à la loi Veil en 1975.
- est un texte choral, aux personnages multiples et fugitifs, de la Libération à nos jours en passant par l'après-guerre et l'après mai 68. Ces « vies minuscules » croquées le temps d'une scène dressent le portrait d'une société en mouvement.
- est une évocation de souvenirs d'enfance sur des modes divers : le récit, la tranche de vie naturaliste, le drame, le rêve. Un homme étrange, un étranger, se mêle à ces souvenirs, et l'on découvre peu à peu son histoire.
- est un projet grand format, onze comédiens pour une quarantaine de personnages, déraisonnable sans doute, comme pouvait le permettre une association héritière des valeurs du théâtre populaire telle que Tréteaux 90 à qui, bien naturellement, le texte est dédié.
Revue de presse :
Est Républicain du 28 Février 2016 |
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| 28/02/2016 |
Devinez qui?
Devinez qui?
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L'autre, ma différence
L'autre, ma différence
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Venise sous la neige
Venise sous la neige
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Joséphine à Belfort
Joséphine à Belfort
Actuellement...
Plus tard ...
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Pop Corn
Pop Corn
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En Juin, Treteaux se donne en spectacle..
En Juin, Treteaux se donne en spectacle..
Pas de NUITS D'ETE, cette année 2012 … Samedi 9 et dimanche 10 juin 2012 NOMAD's LAND Restitution d'un travail d'atelier animé par Jérôme BRIE Un ensemble de petites formes présentant 6 personnages : une gitane, une bretonne bretonnante qui cherche son ivrogne de mari, un ex-avocat, un écrivain banni de son pays que l'on devine totalitaire, un forain à la personnalité double et une pygmée adoptée et qui veut retrouver sa forêt natale … Dates :
Entrée libre Vendredi 15 et samedi 16 juin 2012 La vie c'est mortel ? par La compagnie des courants d'air Un couple de croque-morts est le gardien de la longue tradition familiale de père en fils : pierres tombales, fleurs en plastique, plaques aux formules aussi originales que joyeuses … Dates :
Tarif :
Durée : 1 H10 Plus d'info : http://www.wix.com/fabsire/courants-dair Vendredi 22 juin 2012 Du fric, des thunes … et des pepetes Cabaret chanson française à la GRANGE BURCKLE à MASEVAUX (68) Après la crise, la chanson continue ! Dates : vendredi 22 juin Réservation : www.grange-burckle-masevaux.fr |
Dis à ma fille que je pars en voyage
Dis à ma fille que je pars en voyage
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Les 40 ans des Treteaux
Les 40 ans des Treteaux
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Mariages et Conséquences
Mariages et Conséquences
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Du fric, des thunes... et des pepetes!
Du fric, des thunes... et des pepetes!
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Les parents terribles
Les parents terribles
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Exercices de styles
Exercices de styles
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Hotel des deux mondes
Hotel des deux mondes
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D'Amsterdam aux marquises
D'Amsterdam aux marquises
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Espèces menacées
Espèces menacées
Diaporama :
La revue de presse :
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Tout seuls les deux
Tout seuls les deux
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Le programme 2007-2008
Le programme 2007-2008
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Les bons bourgeois
Les bons bourgeois
LES BONS BOURGEOIS
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Chez Pierrot
Chez Pierrot
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CHEZ PIERROT La revue de presse :
Résumé : Par quels hasards sont-ils tous venus s'échouer là, épaves rejetées par le ressac imperturbable, ramassis de pattes cassées et de canards boiteux ? Le bar devient la scène de tous les possibles, on redore le passé peu reluisant, on fait miroiter de futurs scintillants. Le présent n'est plus que le temps d'une parole où se déploie le faste de la fiction, à coup de mensonges, de rêves, de faux-fuyants. Identités incertaines, jeu, trompe l'œil, temps qui se mélangent : théâtre. Le bistrot tourne à la lanterne magique : grotte aux illusions où l'or rêvé peut couler à flots, au rythme du débit des litrons ! Cela pourrait durer jusqu'à la fin des temps. Mais le jeu théâtral a ses pièges : à force d'illusions c'est le réel qu'il dévoile. Et le vin est traître : la tête tourne et le verbe ne se contrôle plus : in vino véritas, comme d'habitude. Les toiles peintes du fantasme, laborieusement hissées, par instants se déchirent et offrent aux regards ce que les mots tenaient tant à occulter : l'âpre, l'âcre, la noire solitude. Ou alors, la porte s'ouvre. Et la lumière crue et blanche du jour dissout le théâtre d'ombres, ramènent les fragiles échafaudages du rêve à leur réalité de carton-pâte. Car le monde est là, assiégeant le refuge, rognant peu à peu l'espace : il n'y a plus de place pour les théâtres ! Tous les théâtres... Bien sur on peut faire comme si... |
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1, 2, 3, théâtre ...
1, 2, 3, théâtre ...
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1, 2, 3, théâtre ... Atelier Théâtre |
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les vendredi 19, samedi 20, jeudi 25 et vendredi 26 novembre 2004 à 20h45 au Théâtre Michel Dèque - 2, rue James Long à Belfort (03 84 22 66 76) tarif : 5 euros Pas de réservation, entrée sur place ouverture une demi-heure avant le spectacle |
La nuit de Valognes
La nuit de Valognes
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La nuit de Valognes d'Eric Emmanuel Schmitt
Une nuit, dans un manoir perdu de la lande normande, cinq femmes se réunissent pour instruire le procès de Don Juan. Ses anciennes victimes veulent l'obliger à épouser la dernière de ses conquêtes. Mais curieusement, Don Juan accepte. |
Duo's
Duo's
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Duo's Atelier composé de quatre pièces courtes Quatre affaires de couples, ou presque… |
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1- La porte, d'Attica Guedj Le fait d'oublier ses clés est déjà suffisamment agaçant sans qu'en plus vous soyez obligée de supplier votre mari de vous ouvrir. Allez savoir pourquoi ! Mise en scène Gilbert Gable Avec : Vanessa Weiss, Damien Langlois 2- Les menteurs, de Christophe Lyonnet
3- Les cent pas, de Jean-Michel Ribes |
Critique Pour les passionnés de théâtre, l'Atelier de Tréteaux 90 est une chance et un bonheur. A raison d'une séance hebdomadaire il permet de s'initier, de prendre contact, d'appréhender, d'appri-voiser tout ce qui touche aux planches et à leur magie : le jeu, la mise en scène, la régie, l'éclairage, les costumes, le décor. Comme ses prédécesseurs, la cuvée 2002 débouche sur une représentation avec à l'affiche Duo's , quatre affaires de couple, quatre piécettes particulièrement savoureuses. Première pièce d'Attica Guedj, La porte , close à double tour, met face-à-face puis dos à dos un couple d'aujourd'hui, lui écrivain, elle assistante sociale. Deuxième temps, Les menteurs de Christophe Lyonnet, est la ren-contre non fortuite dans une salle d'attente « peine de silence » d'un homme et d'une femme qui se cherchent et se mesurent. Un texte subtil, une dissertation sur les mots et sur l'art d'esquiver, de déguiser, d'éluder. Particulièrement jubilatoires, Les Cent pas de Jean-Michel Ribes mettent doublement en scène de théâtre et de ménage un couple qui, à pas de deux, multiplie les contre-pièces. Quatrième et dernier acte, La demande en mariage , une adapta-tion libre et très comtoise d'une pièce de Tchekhov est un jovial et grand moment de malice, rouerie et inconscience mélangées ou comment jouer une union à double ou quitte. Comédien dirigeant pour la première fois des acteurs, Gilbert Gable mène son petit monde avec doigté et créativité. Auteur et metteur en scène, Christophe Lyonnet est dans ce double emploi, parfait. Quant aux sept comédiennes et comédiens - Jean-Marc Arisi, Sté-phanie Caudal, Damien Langlois, Guy Starck, Mireille Treiber, Philippe Vilquin et Vanessa Weiss - ils font preuve d'une belle santé et ne s'y prennent pas à deux fois pour déclencher des rires aussi spontanés que salutaires.
René Grillon, Le Pays Belfort, 28/11/2002 |
La Ballade des planches
La Ballade des planches
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La Ballade des planches de Jean-Paul Alègre |
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Le théâtre dans le théâtre, raconté en une série de scènes indépendantes (quoique...), depuis le directeur obnubilé par sa recette publicitaire jusqu'à la découverte d'une salle "préhistorique" par des extra-terrestres, en passant par la mise en scène laborieuse d'un suicide en direct. |
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Critique « Le théâtre, sa scène et ses coulisses, son décor et son rideau, ses costumes et ses masques, ses loges et ses cintres, ses éclairages et ses maquillages, son directeur et ses acteurs, est le sujet unique du nouveau spectacle de Tréteaux 90. René Grillon, Le Pays Belfort, 02/02/2001 |
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La comédie de l'emploi
La comédie de l'emploi
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La comédie de l'emploi de Pierre-Yves Millot Pierre-Yves Millot était présent à la représentation
du 24 novembre 2001 |
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Tour à tour, un homme, une femme, une vieille dame frappent à une porte. Ils franchissent le seuil avec l'espoir d'être acceptés, reconnus. Ils échangent des mots drôles, grinçants, absurdes. Dans ce face à face chacun reste dans son monologue. En parlant, le plus faible se livre ; le langage devient arme pour prendre prise sur lui et le déstabiliser : abus de pouvoir dans le monde du travail, jeu de pouvoir dans le couple, prise de pouvoir dans la société. Pendant un moment le rire de la comédie masque l'inhumanité des personnages. Mais très vite la cruauté apparaît derrière l'absurde et l'irréel sombre dans la tragédie. Entre fiction et réalité, entre jeu théâtral et jeu psychologique, Pierre-Yves Millot nous propose une fable sur les rapports sociaux et les déchirements du couple quand l'emprise aboutit à l'élimination de l'autre et l'appropriation de son territoire. |
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Critique Fable d'aujourd'hui, « La comédie de l'emploi », la nouvelle création de Tréteaux 90, est à la fois variation inquiétante sur le pouvoir des mots et double et féroce jeu de rôle. Il étale ses misères, sa collection de boîtes de petits pois. René Grillon, Le Pays Belfort, 30/11/2001 Une pièce percutante et cruelle de Pierre-Yves Millot, interprétée par la troupe Tréteaux 90. Philippe Kientzy (L¹Est Républicain) 25/11/2001 Sourire de façade puis grincement de dents, la nouvelle création de Tréteaux 90 signée Pierre-Yves Millot passe allègrement d'un imaginaire badin à une réalité féroce. René Grillon, Le Pays Belfort, 06/11/2001 |
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Des pommes pour Eve
Des pommes pour Eve
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Des pommes pour Eve de Gabriel Arout |
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Lors de onze représentations programmées en janvier et février 2000, Tréteaux 90 a présenté la création au théâtre Michel Dèque Des pommes pour Eve , de Gabriel Arout (d'après des textes de Tchekhov). |
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Critique "Elles s'appellent Nadia, Aniouta, Sonia, Zina, Lisa, Sophia, Nina. Elles sont toutes Russes mais elles sont surtout toutes femmes, héroïnes à la fois une et multiple de la nouvelle pièce " Des pommes pour Eve ", mise en scène et jouée par les comédiens de Tréteaux 90, d'après des textes de Tchekhov.
René Grillon, Le Pays Belfort, 11/01/2000
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Rencontres
Rencontres
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Rencontres Ateliers théâtre, 4 pièces en 1h30 |
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Jouées trois fois en un week-end (19, 20, 21 mars 1999 au théâtre Michel Dèque), ces quatre petites pièces étaient un gageure prise par quatre metteurs en scène totalement novices dans ce travail. Le but était au départ pour l'association de détecter de nouvelles dispositions à la mise en scène, et pouvoir ainsi permettre des créations plus fréquentes. Mais comme tout travail doit avoir une butée inéluctable, nous avions décidé de fixer de vraies représentations publiques ! Personne ne s'en est plaint d'ailleurs..., et l'un des quatre "bleus" prépare une pièce pour janvier 2001.
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Critique "Quatre ateliers sont mis en place quatre à quatre. Les quatre chefs d'atelier ont carte blanche: choix de la pièce, des acteurs, confection des costumes et des décors.Les quatre mousquetaires se mettent en quatre pendant tout l'hiver pour monter avec leur équipe quatre spectacles. Les quatre ateliers sont indépendants, mais le hasard dont les quatre volontés sont souvent inexplicables,fait que les quatre pièces choisies ou écrites ont un point commun, un thème commun : la rencontre. Cette fortuite mais heureuse rencontre donne une cohérence, une unité au spectacle, les quatre créations devenant actes d'une pièce en quatre tableaux traitant avec imagination et humour de la rencontre." René Grillon, Le Pays Belfort, 19/03/1999
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Country
Country
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Country d'après Tandis que j'agonise de William Jouée huit fois en janvier 1998 au théâtre Michel Dèque, Country reprend avec âpreté l'univers sombre et désespéré d'une famille de petits blancs du sud des Etas-Unis. Les chapitres représentant chaque personnage dans le roman de Faulkner, avec leur propre voix et leurs propres peurs, apparaissent sur scène au travers de monologues ou de dialogues contenant la même violence d'introspection ressentie à la lecture. Un pari difficile et courageux, qui partagea les avis. |
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Critique "Mettre en scène une œuvre aussi dense, aussi aboutie n'était pas une mince affaire. D'abord un univers géographique et sociologique de personnages qui ne s'expriment qu'à travers des monologues intérieurs. Qui Parle ? Qui regarde ? Toute l'action passe par le regard de l'un ou l'autre des huit personnages conservés par le metteur en scène (ils sont quinze dans le roman original "Tandis que j'agonise") .Histoire d'une famille de paysans, les Bundren, dont la mère morte continue à régenter tout et tout le monde. Histoire d'un voyage funéraire. Anse, le père, accompagné de ses enfants va enterrer sa femme, Addie, quelque part, assez loin... selon ses dernières volontés. Histoire de voisins, bigots revendicatifs et grotesques que Faulkner aurait assimilé au chœur de la tragédie antique, mais en les ridiculisant. "Country", l'adaptation, en a gardé l'esprit. Le metteur en scène n'a gagné son pari qu'en partie. Gagné grâce à de jeunes acteurs particulièrement talentueux. La qualité de leur interprétation met en valeur les images obsédantes, la dimension métaphysique et la folie de leurs personnages : deux artistes, deux poètes fous qui trouvent dans le jeu, les déplacements, les inventions de leurs interprètes, leur vraie fonction : le sublime. Perdu à cause d'une mauvaise direction d'acteurs, côté chœur. Son idée de contrebalancer le tragique de la mort par le burlesque du couple de voisins se justifie, mais cela ne passe pas du tout. Faute d'avoir donné des consignes strictes, ce n'est pas le burlesque qui ressort, maïs plutôt du comique boulevardier. Cela étant, saluons le courage d'adopter un tel texte, félicitons toute l'équipe de comédiens et de techniciens. Au fil des représentations, le spectacle se bonifiera." Philippe KIENTZY, L'Est Républicain, 23/01/1998
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Conversation après un enterrement
Conversation après un enterrement
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Conversation après un enterrement de Yasmina Reza Cette pièce, jouée dix fois au théâtre Michel Dèque, met en scène six personnages, qui se retrouvent à l'occasion de l'enterrement de leur père, le septième personnage, parti mais omniprésent dans les mémoires et les conversations. Une situation très ordinaire, dans une ambiance douce amère où le non-dit est parfois à la limite du supportable. La mise en scène de Gisèle Blaise se termine par un tableau d'une demi-heure où le public se sent irrésistiblement pris dans la conversation .
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Critique Toute l'équipe, comédiens, machinistes, techniciens est présente. Ce soir, on entame les "filages", les choses sérieuses commencent. Six comédiens, trois hommes, trois femmes se recueillent sur une tombe. L'un d'eux lit un texte écrit... par le mort. Le mort, c'est le père, figure emblématique, puissante et divine qui sut (à tort peut-être) étouffer tous les conflits. Comment vivre après cette disparition, même quand on est adulte ? La pièce de Yasmina Reza (révélée au grand public par "Art" ou "La traversée du désert") est subtile, difficile sous un aspect en apparence simple. Beaucoup de non-dits qui dissimulent des rancœurs, des blessures mal cicatrisées. Nostalgie, atmosphère à la Tchekhov, conversations banales mais tellement importantes, tellement sérieuses sous les faux airs de rien du tout. Peurs et pudeurs s'expriment sur la pierre tombale, inhibitions qui se lèvent dans la moiteur de l'arrière-saison. Chaque tableau défile sous le signe de l'alternance "Noir !", "Musique !" lancés d'une voix de stentor par Cisèle Blaise. Quelques remarques de détail sur les changements de décors (pas du tout réalistes, plutôt dans un rendu d'atmosphère) et à la fin... le bilan. [...] Demain soir, la mayonnaise, soudain, prendra par miracle, comme chaque fois... C'est ça la magie du théâtre." Philippe KIENTZY, L'Est Républicain, 14/11/97
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Barouf à Choggia
Barouf à Choggia
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Barouf à Choggia de Carlo Goldoni Création représentée dix fois au théâtre Michel Dèque, ce classique de Goldoni (1762) fait une place aux commérages des femmes, mauvaises, vipérines, et lorsque cela dégénère en pugilat, les jupes volent, les corsages se gonflent, les joues s'empourprent, les yeux lancent des éclairs. C'est aussi une peinture de mœurs des pêcheurs pauvres de la région de Venise au 18ème siècle. |
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Critique C'était en janvier dernier. Le mois traditionnellement long, froid et sombre avait été éclairé, égayé par un intense moment de jubilation à l'occasion de la représentation par la troupe de Tréteaux 90 de "Barouf à Chioggia".Cette pièce écrite par le célèbre auteur italien Carlo Goldoni est en effet emplie de drôlerie, d'espièglerie et de malice. Elle met en scène les aventures et les amours des habitants de Chioggia, un petit village de pêcheurs situé au nord de la mer Adriatique.La jalousie des unes, la naïveté des autres provoquent une très forte montée en température qui s'accompagne de cris et de fureur. Bref, c'est le barouf. Mais tout ceci n'est que jeu et façade. Les rires succèdent aux éclats de voix et tout se termine dans l'allégresse. Dans ce spectacle mis en scène avec beaucoup de finesse et de sensibilité par Gisèle BIaise, les comédiens de Tréteaux 90 s'éclatent. Les spectateurs en bénéficient et en cette saison tristounette, la reprise de la pièce est particulièrement bienvenue. Elle apporte un peu de fantaisie, un rayon de soleil dans l'eau froide de l'automne." René Grillon, Le pays Belfort, 12 octobre 1996
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Les sardines grillées
Les sardines grillées
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Les sardines grillées de Jean-Claude Danaud A l'occasion de l'inauguration du Théâtre Michel Dèque, investi par Tréteaux 90 en 1994, cette pièce a pour cadre la rue, où une SDF de luxe, Victoire, campe sous les solides et impossibles murs en pierre de la maison de maître d'une famille notable bordelaise. Elle a été jouée trois fois en 1994, et reprise dix fois en 1995 et dix fois en 1998, avec le même plaisir, aussi bien en salle que sur scène.
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Critique "C'est l'histoire de Victoire (Marthe Guder), une marginale clocharde du XIXe siècle. Assise sur son vieux banc peint en vert, elle fait griller chaque jour des sardines sous les fenêtres de M. de Chaudeloque, son père naturel. Elle se venge aussi en martyrisant tout son petit monde.Solange (Simone Walter) passe par là. Elle est engagée dans la famille Chaudeloque. Victoire exploite sa naïveté et sa fraîcheur. Finalement, Solange-la-gourde arrive à chasser Victoire de son banc. La naïve devient garce à souhait. Tout peut arriver, elle devient tyran à son tour. En plus, elle épouse le fils Chaudeloque dont elle attend un enfant. Tel est pris qui croyait prendre ! Mise en scène par Gisèle Blaise. Elle aime l'intensité du texte. "Tout est obligé, pas un mot ne manque". Texte drôle et court de Jean-Claude Danaud, mis en scène à Paris (café-théâtre des blancs manteaux) en 1981 par Nicole Anouilh qui définissait la pièce comme "un drame bourgeois comique". L'Est Républicain, 7 décembre 1995 |
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1971-1980
1971-1980
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Entre 1980 et 1994, Tréteaux 90 a fixé son activité autour de l'animation des Nuits d'été du château de Belfort (combinés Théâtre et Cabaret en plein air), et a repris le théâtre en salle en novembre 1994, avec "Les sardines grillées", lors de l'inauguration de sa propre salle : le théâtre Michel Dèque. 1980 :
Toi et tes nuages
1978 :
L'Arlésienne 1977 :
Tourniquet 1974 :
Gaz lights 1973 :
Les fourberies de Scapin 1971 :
Piège pour un homme seul |
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